Despite an increasing number of studies highlighting the health benefits of community gardening, the literature is limited by cross-sectional designs. The “JArDinS” quasi-experimental study aimed to assess the impact of community garden participation on the adoption of more sustainable lifestyles among French adults.
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Ressources hors Chaire
Articles
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Improving lifestyles sustainability through community gardening : results and lessons learnt from the JArDinS quasi-experimental study.
10 novembre 2021, par Mathilde COUDRAY -
Quand l’alimentation se fait Politique(s)
17 février 2020, par Mathilde COUDRAYQui gouverne le système alimentaire et influence les décisions publiques ? Qui innove et expérimente d’autres systèmes alimentaires ? ...
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How the microbiome challenges our concept of self
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYToday, the three classical biological explanations of the individual self––the immune system, the brain, the genome––are being challenged by the new field of microbiome research. Evidence shows that our resident microbes orchestrate the adaptive immune system, influence the brain, and contribute more gene functions than our own genome. The realization that humans are not individual, discrete entities but rather the outcome of ever-changing interactions with microorganisms has consequences beyond the biological disciplines. In particular, it calls into question the assumption that distinctive human traits set us apart from all other animals––and therefore also the traditional disciplinary divisions between the arts and the sciences.
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La politique des protéines - IPES FOOD
25 mai 2022, par Mathilde COUDRAYLes animaux continuent de jouer un rôle majeur dans les systèmes de production alimentaire du monde entier. L’élevage compte parmi les moyens de subsistance de 1,7 milliard de petits exploitants agricoles dans le Sud et joue un rôle économique crucial pour environ 60 % des ménages ruraux dans les pays en développement. Le secteur emploie également jusqu’à 4 millions de personnes dans l’UE, où 58 % des exploitations agricoles, dont de nombreuses petites et moyennes exploitations, comprennent des animaux. Parallèlement, la pêche et l’aquaculture font vivre près de 60 millions de personnes dans le monde, et plus de 3 milliards dépendent du poisson comme principale source de protéines. Cependant, nombreux sont ceux dont le régime alimentaire reste principalement basé sur les légumineuses, les céréales et d’autres aliments d’origine végétale, avec une consommation minimale d’aliments d’origine animale.
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Charlas culinarias : Mexican women speak from their public kitchens
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYBy exploring how working-class Mexican women transform their home cooking abilities into an economic resource to support themselves and their families, this paper looks at the philosophical approach women give to their entrepreneurial efforts.
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Étude de démarches de durabilité dans le domaine alimentaire
23 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYBasée sur un travail de revue de littérature, cette étude prend en compte les cahiers des charges qui influent plus ou moins fortement sur les modes de production, et regarde également les actions annexes au cahier des charges. Nous avons interrogé les acteurs des démarches pour comprendre leurs intentions, puis analysé les chaînes de production afin d’évaluer les effets réels des démarches. L’étude permet donc de comparer les intentions affichées avec les garanties réellement offertes par le label.
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A safe and just space for humanity : can we live within the doughnut ?
23 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYHumanity’s challenge in the 21st century is to eradicate poverty and achieve prosperity for all within the means of the planet’s limited natural resources. In the run-up to Rio+20, this discussion paper presents a visual framework – shaped like a doughnut – which brings planetary boundaries together with social boundaries, creating a safe and just space between the two, in which humanity can thrive. Moving into this space demands far greater equity – within and between countries – in the use of natural resources, and far greater efficiency in transforming those resources to meet human needs.
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Physiologie du goût, ou Méditations de gastronomie transcendante
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYLa Physiologie du goût est un recueil de mémoires. Mémoires d’humour, dans le ton héroï-comique, ou comment traiter de matières familières avec un rien de noblesse, un zeste de pompe ou de solennité. Cela pourrait lasser, si tout ne baignait dans la modestie et la gaieté. Brillat-Savarin est l’auteur le plus aimable qui soit. Mais il est question de cuisine. Brillat-Savarin (1755-1826) inaugure avec génie cette intellectualisation de la gastronomie qui ne devait pas cesser jusqu’à nos jours.
Il est témoin de l’époque où s’impose le restaurant, lieu pour manger, au détriment de l’auberge, refuge du voyageur sans feu ni lieu, où l’on ne faisait guère que boire et se nourrir. La cuisine se professionnalise et toute profession suscite discours ; se mettre à table est affaire de langage. Au-delà du besoin de manger, le plaisir de la table est comme une mise en scène : le luxe du désir. La nourriture désirée est une sorte de cérémonie ethnographique par laquelle l’homme célèbre son pouvoir, sa liberté de brûler son énergie "pour rien".
"En ce sens, dit Roland Barthes, le livre de Brillat-Savarin est de bout en bout le livre du "proprement humain", car c’est le désir (en ce qu’il se parle) qui distingue l’homme". (présentation de l’édition parue en 2017 chez Flammarion) -
Sociologies de l’alimentation
27 octobre 2021, par Mathilde COUDRAY« La façon dont les hommes conçoivent la satisfaction de leurs besoins alimentaires ne saurait se réduire à de strictes logiques utilitaires ou technologiques. L’alimentation a une fonction structurante de l’organisation sociale d’un groupe humain. Qu’il s’agisse des activités de production, de distribution, de préparation, de consommation, elle est un objet crucial du savoir socio-anthropologique. »
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Dietary diversity as a household food security indicator
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYHousehold food security is an important measure of well-being. Although it may not encapsulate all dimensions of poverty, the inability of households to obtain access to enough food for an active, healthy life is surely an important component of their poverty. Accordingly, devising an appropriate measure of food security outcomes is useful in order to identify the food insecure, assess the severity of their food shortfall, characterize the nature of their insecurity (for example, seasonal versus chronic), predict who is most at risk of future hunger, monitor changes in circumstances, and assess the impact of interventions. However, obtaining detailed data on food security status—such as 24- hour recall data on caloric intakes—can be time consuming and expensive and require a high level of technical skill both in data collection and analysis. This paper examines whether an alternative indicator, dietary diversity, defined as the number of unique foods consumed over a given period of time, provides information on household food security. It draws on data from 10 countries (India, the Philippines, Mozambique, Mexico, Bangladesh, Egypt, Mali, Malawi, Ghana, and Kenya) that encompass both poor and middle-income countries, rural and urban sectors, data collected in different seasons, and data on calories acquisition obtained using two different methods. ....[D]ietary diversity would appear to show promise as a means of measuring food security and monitoring changes and impact, particularly when resources available for such measurement are scarce.