Every day in Mumbai 5,000 dabbawalas (literally translated as "those who carry boxes") distribute a staggering 200,000 home-cooked lunchboxes to the city’s workers and students. Giving employment and status to thousands of largely illiterate villagers from Mumbai’s hinterland, this co-operative has been in operation since the late nineteenth century. It provides one of the most efficient delivery networks in the world : only one lunch in six million goes astray. Feeding the City is an ethnographic study of the fascinating inner workings of Mumbai’s dabbawalas. Cultural anthropologist Sara Roncaglia explains how they cater to the various dietary requirements of a diverse and increasingly global city, where the preparation and consumption of food is pervaded with religious and cultural significance. Developing the idea of "gastrosemantics" – a language with which to discuss the broader implications of cooking and eating – Roncaglia’s study helps us to rethink our relationship to food at a local and global level.
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Ouvrage
Articles
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Feeding the city : work and food culture of the Mumbai dabbawalas
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAY -
Coviability of Social and Ecological Systems : Reconnecting Mankind to the Biosphere in an Era of Global Change Vol.1 : The Foundations of a New Paradigm
27 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYPuts forward a new concept to analyse the man-nature relationship. Offers governance solutions to face the ecological emergency. Provides a unique view on environmental change using inter- and transdisciplinary approaches.
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L’homnivore
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYClaude Fischler interroge les racines de nos représentations, de nos goûts et de nos dégoûts alimentaires. Il décrit les mutations des modes de vie, l’invasion de la diététique, le souci croissant du corps et du poids, les révolutions de la haute cuisine et montre qu’à l’âge de l’abondance nous sommes sans doute plus menacés par la cacophonie diététique ambiante que par ce que contiennent nos assiettes.Claude Fischler, sociologue, est chercheur au CNRS. (présentation de l’éditeur)
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Sustainable diets. How ecological nutrition can transform consumption and the food system
27 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYHow can huge populations be fed healthily, equitably and affordably while maintaining the ecosystems on which life depends ? The evidence of diet’s impact on public health and the environment has grown in recent decades, yet changing food supply, consumer habits and economic aspirations proves hard.
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Etre agriculteur. L’individualisation du travail des agriculteurs
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYTravailler ou ne pas travailler ensemble ? Le travail transforme l’environnement de l’homme, il construit l’identité du travailleur.
En tant qu’activité de production, ce n’est pas une œuvre isolée, mais de société. Mais, alors, comment et pourquoi se font et se défont ces relations entre les hommes et les femmes lors de ces activités ? C’est sur cette sempiternelle question que Christian Nicourt « travaille » dans cet ouvrage. Ses objets d’étude : le quotidien, la pratique du travail agricole, les manières de travailler. Pour lui, c’est à ce niveau que les exclusions ou les sélections s’opèrent. Comment, en un siècle, les relations de travail des agriculteurs français se sont-elles transformées, déliées, individualisées au point de les vulnérabiliser ?
Dès le début, l’auteur marque son originalité. C’est le travail de la cultivatrice du début du XXe siècle qu’il examine. Comment se retrouve-telle de plus en plus isolée et cantonnée dans le travail domestique, tout en accroissant sa dépendance lorsqu’elle effectue des travaux agricoles ? Il traite ensuite de l’émergence d’une « profession organisée » et de celle, quelques années plus tard, d’une « agriculture de groupe », nouveau modèle des bonnes manières dans les années soixante. C’est aussi autour de l’étude de populations agricoles plus spécifiques que l’auteur structure son ouvrage. Les éleveurs de porcs qui lui paraissent emblématiques de la transformation de l’agriculteur en entrepreneur. Les agricultrices, ces « travailleuses de l’ombre », pour lesquelles l’auteur cherche à montrer pourquoi et comment le travail de ces femmes a pu sembler inexistant. Il resitue enfin le travail d’une catégorie souvent occultée d’agriculteurs au sein du monde agricole : celui des bio. Enfin, Christian Nicourt analyse les transformations les plus récentes du métier d’agriculteur dans le contexte d’un territoire du travail agricole aujourd’hui recomposé. La rurbanisation, mouvement de redistribution des populations urbaines dans les espaces ruraux, influence-t-elle les manières d’y travailler ? Cet ouvrage s’adresse aux chercheurs, historiens et sociologues, travaillant sur le secteur agricole et rural, aux étudiants de ces disciplines. Toute personne intéressée par l’histoire du travail y trouvera de quoi nourrir sa réflexion.
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Devenir sain. Des morales alimentaires aux écologies de soi
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYS’alimenter sainement n’est pas qu’une occasion de répondre à des exigences sanitaires et alimentaires propres à la construction d’un corps sain, c’est aussi une manière de penser le monde et de le pratiquer. Le devenir sain est exercice critique face aux conséquences d’une société réflexive, où l’incertitude devient le maître mot du rapport à la connaissance et aux institutions. Il exprime les exigences d’une société orthorexique et cherche à les transcender.
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MOND’Alim 2030, panorama prospectif de la mondialisation des systèmes alimentaires
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYEn matières agricole et alimentaire, les dynamiques locales sont de plus en plus conditionnées par des facteurs lointains et globaux : l’emploi en Bretagne est lié aux activités agroalimentaires au Brésil ou en Nouvelle-Zélande, le développement rural en Malaisie découle du rapport des consommateurs européens à l’huile de palme, le café au Vietnam dépend des décisions multilatérales sur le climat, les influences culinaires japonaises ou américaines rencontrent les traditions alimentaires européennes ou mexicaines, etc.
Cette mondialisation des systèmes alimentaires est autant économique que culturelle, sociale, politique, informationnelle, scientifique, juridique, etc. Elle désigne un processus multiséculaire qui se poursuit, se transforme, s’approfondit à certaines époques et s’atténue à d’autres. -
Integrating food into urban planning
23 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYThe integration of food into urban planning is a crucial and emerging topic. Urban planners, alongside the local and regional authorities that have traditionally been less engaged in food-related issues, are now asked to take a central and active part in understanding how food is produced, processed, packaged, transported, marketed, consumed, disposed of and recycled in our cities.
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Introduction à la pensée complexe
27 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYNous demandons à la pensée qu’elle dissipe les brouillards et les obscurités, qu’elle mette de l’ordre et de la clarté dans le réel, qu’elle révèle les lois qui le gouvernent. Le mot de complexité, lui, ne peut qu’exprimer notre embarras, notre confusion, notre incapacité à définir de façon simple, à nommer de façon claire, à ordonner nos idées. Sa définition première ne peut fournir aucune élucidation : est complexe ce qui ne peut se résumer en un maître mot, ce qui ne peut se ramener à une loi ni se réduire à une idée simple. La complexité est un mot problème et non un mot solution.
Edgar Morin propose ici un mode de pensée pour affronter la complexité du monde qui nous entoure.
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Le mangeur hypermoderne
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYLe micro-ondes et les portions individuelles, le péché de gourmandise, l’anorexie et l’obésité épidémiques, les McDo’s, le slow-food, le fooding, le traiteur à domicile, la gastronomie moléculaire : autant d’objets, de faits et de pratiques sociales qui révèlent les traits propres à la société contemporaine. Après ses travaux sur les villes, François Ascher poursuit son étude de la société « hypermoderne » en s’appuyant cette fois sur l’évolution des pratiques alimentaires. Il en tire des hypothèses ambitieuses et stimulantes sur le développement du modèle du restaurant, y compris à la maison, sur les relations entre sociabilité et pratiques alimentaires, sur l’émergence d’un nouveau groupe social, la « classe créative », pour laquelle la nourriture devient une question d’esthétique quotidienne, etc. Une véritable radiographie de la vie quotidienne d’aujourd’hui ; une réflexion originale sur la liberté des individus telle qu’elle s’exerce chaque jour.