To accelerate the shift towards sustainable food systems, a new science of sustainable food systems is needed. This paper traces out the contours of a new analytical framework for sustainable food systems (Section 1). It then describes the principles of transdisciplinary science that must be applied in order to generate the types of knowledge that can support the transition to sustainable food systems (Section 2). Finally, it considers previous and ongoing attempts to address sustainable food systems at the interface of science, policy and practice, in order to identify where initiatives have succeeded, where challenges remain, and how these energies can be harnessed and combined to support the transition to sustainable food systems (Section 3).
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De 2014 à 2017
Articles
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The new science of sustainable food systems : overcoming barriers to food systems reform
27 octobre 2021, par Mathilde COUDRAY -
« Food activism » en Europe : changer de pratiques, changer de paradigmes
27 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYQu’elles soient locales, nationales ou internationales, les mobilisations et les contestations liées à l’alimentation regroupent un large éventail de pratiques allant des actions collectives de producteurs ou de consommateurs aux mouvements sociaux et politiques structurés. À partir d’une définition large et inclusive de la notion de, ce texte explore diverses formes, conceptions et pratiques du food activism observables en Europe. Comment pouvons-nous analyser le food activism et quelles sont ses limites ? Quels types d’économie imaginent ou pratiquent les food activists ? Quels types de positions défendent-ils et quelles stratégies mettent-ils à l’œuvre en Europe ? À partir de deux cas d’étude – le mouvement international Slow Food et les systèmes de paniers de légumes de type AMAP –, il s’agira d’avancer quelques hypothèses concernant les paradigmes et les pratiques de ces activismes. Interroger le food activism nous permet de comprendre non seulement les changements qui affectent dans le temps ces formes de mobilisation et leurs objectifs, mais aussi les liens et connexions entre différents types d’activismes liés à la sphère de l’alimentation. Cela nous conduit parallèlement à interroger nos propres paradigmes et nos propres pratiques de recherche.
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Comment changer nos comportements alimentaires ? Le regard du socio-anthropologue de l’alimentation
31 janvier 2014, par ClarisseJean-Pierre Poulain (Chair of Food Studies, Taylor’s University – Toulouse/Kuala Lumpur) - Agir sur la consommation alimentaire des ménages est identifié comme un levier majeur pour réduire l’impact de nos systèmes alimentaires sur l’environnement et améliorer la santé des populations. Comment accompagner des changements de pratique vertueux ? Quelle acceptabilité par les consommateurs ?
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Quelle acceptabilité par les consommateurs ?
31 janvier 2014, par ClarissePrésident : Nicolas BRICAS (socio-économiste, Cirad)
Avec :
Francis AKINDÈS (sociologue, Université Alassane Ouattara, Bouaké, Côte-d’Ivoire ; coordinateur de la Chaire Unesco de bioéthique)
Thomas BAULER (économiste de l’environnement, Centre d’études du développement durable, Université libre de Bruxelles)
Charles PERNIN (chargé de mission à l’association Consommation, logement et cadre de vie – (...) -
N° 1/ L’anémie en Côte d’Ivoire : l’intérêt d’une approche sociale
16 mai 2017, par ClarisseLa situation nutritionnelle en Côte d’Ivoire inquiète. Dans ce pays d’Afrique subsaharienne, l’alimentation infantile est au centre des préoccupations nationales depuis plusieurs années. La lutte contre la malnutrition est intégrée dans des programmes nationaux destinés à promouvoir et soutenir une bonne alimentation du nourrisson et du jeune enfant, la protection de l’allaitement maternel et la lutte contre les carences.
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Changer notre alimentation : pour quoi faire ?
29 janvier 2016, par ClarisseJean-Michel Lecerf, nutritionniste, Institut Pasteur, Lille - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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L’émergence des « marchés sans intermédiaires » en Grèce. Résilience des systèmes alimentaires dans une économie solidaire en période de crise (Theodosia Anthopoulou)
18 octobre 2016, par ClarisseLes « marchés sans intermédiaires » sont initialement apparus en 2012 à l’initiative de collectifs de la société civile, en pleine crise économique, suite au mouvement dit « de la pomme de terre ». Depuis lors, ils se propagent rapidement dans toute la Grèce, en même temps que d’autres initiatives alimentaires, telles que les jardins urbains associatifs, les premiers paniers de type AMAP et les épiceries sociales qui s’inscrivent dans le cadre d’une économie sociale et solidaire émergente. Le mouvement « sans intermédiaires » représente une réponse collective par le bas au marché capitaliste dominant.
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Alimentation et épigénétique : les enjeux autour des 1000 premiers jours de vie
29 janvier 2016, par ClarisseTristan Fournier, Institut de recherches interdisciplinaires sur les enjeux sociaux, CNRS - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Approche sociologique des néophobies alimentaires chez l’enfant
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYÀ partir d’une interrogation sur les enfants autistes, leurs singularités alimentaires ainsi que les difficultés et les ajustements pour l’entourage nourricier autour des repas, les auteurs, sociologues, questionnent les évolutions du répertoire alimentaire et plus particulièrement la phase de la néophobie. Ce travail examine la simultanéité et la complémentarité des processus de socialisation et d’individuation dans les évolutions des pratiques alimentaires des enfants. S’interroger en articulant les approches psychologique et sociologique permet d’explorer les soubassements des normes. Et aussi de distinguer la perspective phylogénétique à tendance universalisante de la néophobie de l’enfant dans le cadre de l’ontogénèse.
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Que mangera-t-on demain ?
30 janvier 2015, par ClarisseDiscussion entre Michel BRAS, chef gastronomique & Raul MATTA, sociologue - Que nous disent les pratiques et mouvements alimentaires d’hier ? Remontée aux sources préhistoriques de notre alimentation, en passant par les disettes du Moyen-Âge et les « métissages culinaires » en Amérique latine. Puis anticipation sur les alimentations de demain en termes de nouveaux produits, de nouveaux usages, et d’innovations technologiques.