Nous savons aujourd’hui que les microbes ne doivent plus seulement être associés aux maladies ou à la décomposition. Au contraire, ils jouent un rôle en tous points essentiel : tous les organismes vivants, végétaux ou animaux, dépendent intimement de microbes qui contribuent à leur nutrition, leur développement, leur immunité ou même leur comportement. Toujours pris dans un réseau d’interactions microbiennes, ces organismes ne sont donc… jamais seuls. (présentation de l’éditeur)
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De 2017 à 2020
Articles
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Jamais seul. Ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAY -
Pourquoi faudrait-il lutter contre le gaspillage alimentaire ? (Nicolas Bricas)
17 décembre 2018, par Mathilde COUDRAYPourquoi un tel engouement depuis quelques années pour la lutte contre le gaspillage alimentaire ? Certes il y a une dimension morale à lutter contre le fait de jeter de la nourriture, un bien que l’on nous a appris à respecter depuis des temps anciens où il était rare. C’est justement parce que ce bien ne l’est plus qu’il a perdu de sa valeur et qu’on le gaspille. Mais pourquoi faudrait-il lui redonner de la valeur, rappeler qu’on doit le respecter et ne pas le gaspiller ?
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Démocratie alimentaire : de quoi parle-t-on ? (Dominique Paturel et Patrice Ndiaye)
19 mars 2019, par Mathilde COUDRAYDepuis la fin de la seconde guerre mondiale, le statut de consommateur est celui qui permet d’être inclus socialement, au besoin avec l’aide de l’État. Celui-ci a eu un rôle fondamental dans la façon dont il a équipé les familles et personnes en situation de précarité pour rester dans cette sphère de la consommation.
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Noé Ndilmbaye
25 mars 2020, par Mathilde COUDRAYQuel intérêt pour l’agriculture de précision en Afrique de l’Ouest ?
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Les médiations sociales de l’alimentation de rue à Jakarta. Etude des dynamiques du culinaire entre le monde domestique et le monde marchand dans l’informalité urbaine.
22 décembre 2017, par RoxaneLaura Arciniegas est colombienne et française. Doctorante en sociologie à l’Université de Toulouse Jean Jaurès, au sein du Certop UMR 5044 du CNRS sous la direction de Jean-Pierre Poulain et l’encadrement depuis l’UMR Moisa-Cirad de Nicolas Bricas.
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Food choices at the intersections of race, class and gender struggles in post-apartheid South Africa.
22 décembre 2017, par RoxaneYanga Zembe is an associate professor in the Institute for Social Development, at the University of the Western Cape. She is a behavioural social scientist, whose research explores the role of structural factors such as gender and economic inequalities in the production of social and sexual behaviours that lead to negative health outcomes.
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« La nourriture de la marmite » : alimentation et socialisation de l’enfant dans deux villes camerounaises.
22 décembre 2017, par RoxaneEstelle Kouokam Magne est anthropologue et maître de conférences à l’Université catholique d’Afrique centrale (UCAC). Elle coordonne actuellement le groupe national de travail « genre et armée », fi nancé par le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria). Ses thèmes de recherches privilégiés sont le genre, la santé, l’alimentation et les religions.
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Le bâbenda, un « mets traditionnel modernisé ». Trajectoire d’une spécialité culinaire burkinabè vers la ville.
22 décembre 2017, par RoxaneRaphaëlle Héron est docteure en socio-anthropologie et ingénieure en agro développement à l’international (ISTOM). Elle est actuellement chercheure associée à l’UMR D&S (Paris 1 Panthéon-Sorbonne/IRD) ainsi que chargée de mission en socio-anthropologie au sein du groupe Nutriset, notamment animatrice d’un projet de recherche académique portant sur la sécurisation alimentaire (SAOATI), en partenariat avec l’IEDES.
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Manger dehors à Mexico et Guadalajara : la tension entre les dimensions de santé et de patrimonialisation.
22 décembre 2017, par RoxaneLiliana Martinez Lomeli est doctorante du Centre Edgar Morin à l’École des hautes études en sciences sociales, sous la direction de Claude Fischler. Sa thèse porte sur le fait de manger dehors dans deux villes mexicaines (Guadalajara et Mexico) concernant des dimensions de sociabilité, santé, patrimonialisation et convivialité. Elle a fait un Master de sociologie dans le cadre du projet ANR-ALIMI avec un mémoire sur la commensalité des personnes issues de la migration malienne en France.
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L’Attiéké-Garba, « bon » à manger et à penser.
22 décembre 2017, par RoxaneGisèle Sedia est titulaire d’un DEA de sociologie depuis 2001, conseillère en insertion professionnelle et titulaire d’un certificat de prévention des conflits électoraux, Gisèle Sedia a été associée pendant 18 ans à différents programmes de recherche de l’IRD, de l’Association pour le développement de la riziculture en Afrique de l’Ouest, du Centre suisse de recherche scientifi que en Côte d’Ivoire, du Centre de recherche et d’action pour la paix (CERAP-INADES).