Guoqiang Li, Université Paris Ouest, Centre de recherche sur les civilisations de l’Asie - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Colloque annuel 2016 « Je suis ce que je mange ? »
Articles
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Chine : une histoire du millet comme aliment santé
29 janvier 2016, par Clarisse -
Le ventre, un cerveau comme un autre ?
29 janvier 2016, par ClarisseBéatrice De Montera, philosophe, Université catholique de Lyon - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Le marché des alimentations alternatives : bio, végétarien, sans-gluten, sans-lactose, etc.
29 janvier 2016, par ClarisseLaurence Beck, directrice du développement Bjorg - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Mexique, méfiance et incertitude dans la lutte contre l’obésité et la sous-alimentation
29 janvier 2016, par ClarisseMiriam Bertran, Université autonome métropolitaine de Mexico - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Quelle acceptabilité de menus spéciaux proposés en restauration collective ?
29 janvier 2016, par ClarisseMohamed Merdji, Audencia, Nantes - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Alimentation, microbiote intestinal et maladies neurodégénératives
29 janvier 2016, par ClarisseMichel Neunlist, directeur de l’unité de recherche en neuro-gastroentérologie, Inserm, Université de Nantes - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Ouverture du Colloque « Je suis ce que je mange »
29 janvier 2016, par ClarissePour son 5e colloque annuel, la Chaire Unesco Alimentations du monde aborde les liens complexes entre alimentation, santé et bien-être. Ouverture du colloque par Damien Conaré, Secrétaire général de la Chaire, Anne-Lucie Wack, Directrice générale de SupAgro et David Atchoarena, Directeur de la division des politiques et systèmes d’apprentissage tout au long de la vie, Unesco.
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Diversité agricole, diversité de l’alimentation et santé en situation d’urgence
29 janvier 2016, par ClarisseFélicité Tchibindat, Unicef, Cameroun - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Alimentation et épigénétique : les enjeux autour des 1000 premiers jours de vie
29 janvier 2016, par ClarisseTristan Fournier, Institut de recherches interdisciplinaires sur les enjeux sociaux, CNRS - Les comportements d’abondance et l’excès de consommation de graisses animales, sucre et sel, partout dans le monde, induisent une augmentation des maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète de type 2 et obésité). Avec le développement de ces pathologies, et la volonté de les prévenir, on observe une forme de médicalisation de l’alimentation (y compris dans les situations de sous-nutrition), qui renouvelle de manière importante les relations entre alimentation, santé et bien-être.
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Conclusion colloque « Je suis ce que je mange »
29 janvier 2016, par ClarissePour Bruno Hérault, chef du Centre d’études et de prospective au ministère de l’Agriculture, l’alimentation est une marque de distinction individuelle : « dis-moi ce que tu manges, je te dirai qui tu es ». Nous vivons dans des « sociétés de risque », qu’ils soient microbiologique, politique ou alimentaire alors que notre alimentation n’a jamais été aussi contrôlée. Paradoxe auquel renvoie la forte intrication des niveaux d’action en ce qui concerne l’alimentation, « qui était une affaire privée, et qui (...)