Où l’on comprend que la cuisine faite maison, qui présente de nombreux atouts sur les plans de la culture ou de la santé par exemple, reste une tâche quotidienne peu valorisée qui incombe majoritairement aux femmes. Et où l’on s’intéresse aux opportunités présentées par la marchandisation des préparations culinaires « maison ».
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Chapitre de l’ouvrage
Articles
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Réinvestir la cuisine et le “fait-maison” ?
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAY -
L’alimentation comme relations aux autres
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù l’alimentation est présentée comme un moyen de s’inscrire dans un collectif, de se relier à d’autres êtres humains : à table, lorsqu’on partage de la nourriture ; au marché, au travers des sociabilités qui s’instaurent dans les relations marchandes ; en voyage, quand la nourriture permet de découvrir la culture locale…
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Faut-il doubler la production alimentaire pour nourrir le monde ?
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù l’on apprend comment les jeux d’acteurs dans les débats internationaux ont fait évoluer le concept de sécurité alimentaire et où l’on comprend que, depuis la crise des prix agricoles de 2008, le retour du mot d’ordre de doubler la production alimentaire à l’horizon 2050 par une fuite en avant technologique nous empêche de penser et discuter ce concept.
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Les rôles de la formation et de la recherche
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù l’on s’intéresse aux implications d’une écologie de l’alimentation pour la formation et la recherche, et où l’on constate que des changements sont en cours, tant sur les sujets que sur la façon de les traiter. Où quelques pistes sont données pour penser ces évolutions.
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Préface - La dimension phagique
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYConsidérons le brin d’herbe : il est mangé par le ruminant, disons le buffle ou la gazelle. La gazelle est mangée par son prédateur, en l’occurrence le lion. Le lion laisse les reliefs de son repas aux vautours, hyènes et autres charognards, puis aux espèces détritivores telles le lombric. À leur tour interviennent bactéries et autres micro-organismes « décomposeurs », lesquels enrichissent l’humus mais peuvent eux-mêmes être la proie de protozoaires…
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L’alimentation pour se relier à la biosphère
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù nous sommes invités à nous penser comme partie intégrante de la nature – voire même comme un écosystème complexe en soi – et à considérer les différentes manières dont l’alimentation nous met en lien avec l’espace qu’on occupe et avec le vivant que nous côtoyons et ingérons.
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Le consomm’acteur, moteur du changement ?
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù les individus, convaincus de faire leur part grâce au pouvoir dont ils disposent à travers leurs actes d’achat, comprennent les limites de leur responsabilité dans la transition vers des systèmes alimentaires durables. Ils découvrent que leurs comportements de consommation sont malgré tout contraints par un environnement matériel, social et politique et ne peuvent constituer les seuls moteurs du changement.
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Les limites des systèmes alimentaires industrialisés
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù l’on découvre en quoi les systèmes alimentaires industrialisés génèrent des externalités négatives, aux niveaux environnemental, sanitaire, socio-économique et politique. L’identification de ces enjeux de durabilité conduit à assigner à ces systèmes non seulement la finalité de nourrir, mais aussi celle de contribuer activement à la viabilité de la biosphère et à un développement socio-économique inclusif et résilient.
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Aux origines de l’agriculture industrielle
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù l’on se plonge dans une histoire longue de l’agriculture, depuis une époque où celle-ci fonctionnait avec pour principale énergie le soleil et fournissait à la fois nourriture, énergie, matériaux et fertilisants, jusqu’à une époque, celle de l’agriculture industrielle, fondée sur l’usage massif de ressources non renouvelables et de la chimie, et majoritairement réduite à la production de nourriture.
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Fortifier les aliments pour lutter contre les carences ?
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù l’on apprend que la lutte contre les carences en micronutriments passe notamment par la diversification des régimes alimentaires ; une bonne manière de soutenir la diversité des productions. Pourtant, ce sont des solutions techniques comme la supplémentation ou la (bio)fortification, jugées plus innovantes, qui prédominent encore dans les politiques nutritionnelles pour répondre aux enjeux de malnutrition.
Rubriques
- L’alimentation pour se relier à soi
- S’engager pour la transformation des systèmes alimentaires
- Faut-il doubler la production alimentaire pour nourrir le monde ?
- Fortifier les aliments pour lutter contre les carences ?
- Vous reprendrez bien un peu de protéines ?
- Lutter contre le gaspillage alimentaire ?
- Lutter contre la précarité par de l’aide alimentaire ?
- Réinvestir la cuisine et le “fait-maison” ?
- Prendre ses distances avec le local ?
- Le consomm’acteur, moteur du changement ?
- Les initiatives citoyennes et leur changement d’échelle
- L’alimentation pour se relier aux autres
- Les entreprises : vers de nouveaux modèles ?
- Les rôles de la formation et de la recherche
- L’alimentation en politiques
- L’alimentation pour se relier à la biosphère
- Aux origines de l’agriculture industrielle
- L’industrialisation de l’offre alimentaire
- L’évolution des habitudes alimentaires
- Les limites des systèmes alimentaires industrialisés
- Pourquoi une approche écologique de l’alimentation ?
- Décloisonner les savoirs sur l’alimentation